Dernières actualités avec #haine en ligne


Le Parisien
7 days ago
- Entertainment
- Le Parisien
« Secret Story » 2025 : « Il y a une urgence » face au cyberharcèlement, la production monte au créneau
« Cela entache la belle saison que nous vivons… » Alors que « Secret Story » rencontre un fort succès chez les publics jeunes sur TFX, la société de production Endemol ne cache pas son désarroi face à un phénomène difficilement enrayable : la haine en ligne. « Dans Secret Story mais aussi dans d'autres émissions comme Star Academy ( également produite par Endemol ), nous voyons des vagues de harcèlement qui déboulent et s'emballent sur les réseaux sociaux. La plupart du temps, ces gens n'ont rien vu des programmes et cela se transforme en insultes et en menaces, constate amèrement Jean-Louis Blot, le président de la société. Nous sommes très attentifs à cela mais ce sont des incendies difficiles à éteindre. »


Le Figaro
7 days ago
- Politics
- Le Figaro
Plan de lutte contre la haine en ligne : Le Pen dénonce un «surfinancement» d'associations haineuses, Bergé lui répond
La patronne des députés RN a dénoncé le casting retenu par la ministre déléguée, qui a décidé de confier cette nouvelle mission à plusieurs acteurs dont notamment SOS Racismes ou encore la Fédération des centres LGBTI+. Une annonce qui a fait des vagues. Mercredi, la ministre déléguée à la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a annoncé la création d'une coalition d'associations, financée par l'État, pour lutter contre la haine en ligne. Une initiative qui vise, selon elle, à mettre un coup de frein aux propos violents qui se propagent sur les réseaux sociaux. Sauf que les acteurs qu'elle a décidé de mettre autour de la table - parmi lesquels notamment SOS Racisme ou encore la Fédération des centres LGBTI+ - ont suscité une levée de boucliers, en raison de certaines prises de position politiques régulières et parfois controversées des intéressés. «Il reste de l'argent à dépenser du coup ?», a ainsi feint de s'interroger Marine Le Pen sur X, dans une allusion à l'effort budgétaire d'une quarantaine de milliards d'euros réclamé par l'exécutif pour l'année prochaine. Et la double-finaliste de la présidentielle de répondre elle-même à sa propre question : «Oui, pour surfinancer des associations qui, pour la plupart, déversent quotidiennement leur haine de ceux qui ne pensent pas comme eux». «Définitivement, le macronisme c'est 'en même temps' le pire de la gauche et le pire de la droite», a encore cinglé la patronne des députés RN, dont la charge a ensuite été relayée par d'autres membres du parti à la flamme. «La liberté d'expression sous-traitée à des activistes, au frais du contribuable», appuie par exemple l'eurodéputée nationaliste Catherine Griset. Publicité Certaines voix se sont également élevées à droite où, le président de la Haute autorité des Républicains, Henri de Beauregard, est notamment monté au front : «Cette manière de sous-traiter une forme de censure à des militants politiques est extrêmement préoccupante». Autant de critiques qui ont conduit Aurore Bergé à se défendre sur X : «Apparemment le RN n'est pas à l'aise quand on lutte contre l'antisémitisme, le racisme, l'homophobie et les violences à l'encontre des femmes qui se déchaînent sur les réseaux sociaux» a-t-elle lancé, estimant que plus personne ne pouvait «encore» s'en «étonner».